Paris

Comme d’habitude les photos exposées sur les grilles du jardin du Luxembourg à Paris sont superbes, mais celles-ci, de Sebastian Copeland, sont en plus légendées par des chiffres affolants sur les changements climatiques.

Cette année encore le Paris Rollers Marathon s’est déroulé sous un grand soleil, et comme l’année dernière j’étais spectateur, avec dans mon sac, Exocet, mon Sony α7II (oui il a un nom, et oui ça rime, c’est fait exprès) et deux objectifs autofocus à monture EF, Sigma 50mm f/1.4 Art et Canon 85mm f/1.8, pour repartir avec des souvenirs.

Paris. Un samedi d’été ensoleillé, mais pas pas trop. Je n’étais pas sorti de la journée et le frigo était à peu près vide, il fallait faire des courses, et donc aller dehors. Autant en profiter pour faire quelques photos, non ?

Aujourd’hui j’ai fait quelques photos en noir-et-blanc du Château de Vincennes avec un objectif à décentrement.

Bon. La première fois je n’avais pas un matériel adapté. La deuxième fois la randonnée était sauvage (officiellement annulée) et… cette fois la randonnée roulait mais on était dramatiquement peu. Peu de gens, peu de staff, donc peu de pauses pour tranquillement prendre des photos.

La randonnée à rollers de l’association parisienne Pari-Roller est une des plus illustres dans le monde, elle a lieu tous les vendredis soirs lorsque la météo le permet. J’y participe à chaque fois que ça m’est possible, et j’ai essayé de rendre en photo le mouvement fluide des centaines de participants dans la nuit parisienne.

15 octobre 2017, la première édition du marathon à rollers parisien s’est déroulée sur la rive droite de la Seine, le départ et l’arrivée ayant lieu sur le pont d’Iéna. La météo était clémente et c’était une bonne occasion de tester le Sony α7II et l’objectif Sigma 50mm f/1.4 Art, reliés par la bague Sigma MC-11.Eh bien, le résultat était plutot moyen…